lunes, 13 de octubre de 2014

Galegos polo mundo: La Suisse

Collemos o Freire, desde Lugo a Lavacolla, paradas en Palas de Rei e Melide. Un grupo de amigos disfrazados de "hippies" esperan a unha noiva para darlle a benvida, berros e palmas ("because this is Spain"). A comida no aeroporto, un timo; "voltant la gent parla català", congreso na cidade compostelá. De súpeto, "Señores pasaxeiros con destino Xinebra, embarquen POLA porta..."; acento galego póla megafonía, do normativo, da TVG. Poñémonos na fila, embarcamos e despegamos. Ata loguiño Galicia.

Atterissage à Genève. Bienvenue en Suisse, le pays des Alpes, des vaches et des maisons en bois. Le pays des horlogues, des couteaux, des voitures de luxe décapotable. Un pays où on fait la bisse trois fois, on mange de la fondue (avec du vin ou du thé) et on écoute les fanfardes dans la rue. Un pays où on doit payer les toilettes, on laisse les chaussures à l'entrée de la maison et il n'y a pas de saints dans les églises (la plupart sont protestants). Un pays où presque tout le monde parle toutes les langues.

Le samedi matin, aller à une fête traditionnel, les vaches qui descendent de la montagne avec des fleurs à la tête et des grands cloches au cou (à Lignières). Après, voir les trois lacs (des vues encroyables) et puis visiter la Neuveville, avec ses lettres "Hollywood style". L'aprés-midi, c'est le tour de connaître la ville de Neauchatel; c'est la folie à cause de la fête des vendanges. C'est surprisant mais les suisses savent comment s'amuser, de l'alcool et de la musique partout. Le soir, voir les feux d'artifice, 45 minutes de spectacle au bord du lac (en Suisse, il y a de l'argent).

Le dimanche matin, monter le Chasseral, jouir de la montagne et du soleil (à la fin, sans brouillard) et faire plein de photos (le paradis de vaches, l'image de chocolat Milka). L'après-midi, visiter la capital; chercher les ourses a côté de la rivière (c'est rigolo), parcourir les rues de Bern (et bien sûr, achêter les souvenirs); tomber amoreuse de la ville. À la fin, prendre un verre a côté du lac de Bienne, jouir d'une ambiance agréable malgré les gestes de garçon. La convivialité, le silence, les gens acueillants. Je retournerai, c'est sûr. Au revoir Suisse.

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